Voilà une devise qui résume bien l’état d’esprit du chantier de plantation de courges du samedi 21 mai.
Malgré la chaleur écrasante, un petit groupe d’amapiens, accompagnés de leurs enfants, ont courageusement planté près de 900 courges !
Butternut, courge musquée, potimarron, buttercup… qui viendront ravir les soupes de l’hiver 2022-2023.
Un grand merci à toutes celles et ceux qui sont venus, ce fut une aide précieuse et c’est toujours plus sympa de travailler à plusieurs et dans la bonne humeur.
Prochain chantier en septembre pour la récolte des courges plantées en mai !
Commentaires fermés sur Butternut rôti à la crétoise
Sur une (excellente) idée de Pénélope.
Mardi avant-dernier, mon pommes pote étant absent, j’ai fait la fin de la permanence pommes avec Pénélope (merci à elle). En discutant, elle a parlé d’une recette de butternut rôti avec de la feta, des graines de courge, de la coriandre… même qu’elle m’a envoyé la recette. Le mot magique (coriandre) étant dit, il fallait absolument que je fasse cette recette. Sauf que… quand j’ai fait les courses, la coriandre proposée à l’achat ne sentait absolument rien, ce qui est traumatisant quand on adore ça. J’avais déjà la feta, j’ai décidé de faire à mon idée avec les ingrédients disponibles tout en m’inspirant de la recette de Pénélope.
Il vous faut donc : un butternut (ou une sucrine du Berry ou une courge du même genre) ; de la feta ; des graines de courge ; de l’huile d’olive, du citron (tout ça c’est sur la base originale) ; et j’ai ajouté de l’aillet et des olives.
Après avoir épluché et coupé le butternut en parts de taille raisonnable, j’ai arrosé d’un filet d’huile d’olive, et j’ai parsemé d’aillet et de la moitié des graines de courge : je ne savais pas à quelle vitesse elles crameraient, donc j’ai assuré le coup.😁
Hop, au four à th°7 chaleur tournante, 15 min comme ça et 15 min avec une feuille d’alu dessus pour que ça cuise sans noircir.
Pendant ce temps, j’attrape un citron qui fait le malin et je lui explique que ça va être sa fête.
3 minutes plus tard il se rend compte que je ne bluffais pas et j’ai un jus qui n’attend plus que des compagnons.
Dans le rôle des compagnons : la feta coupée en cubes, le reste des graines de courge, quelques olives coupées petit.
Quand le couteau rentre sans peine dans le butternut, je sors le plat du four.
Et j’arrose le tout avec le jus de citron customisé.
C’est une tuerie. Le côté acidulé du citron avec la texture douce et sucrée du butternut… et le reste des goûts par-dessus, on a adoré. Pour Mademoiselle II, on a écrasé sa part en purée, et c’est parti à toute vitesse (ça se mange, donc elle aime). Mademoiselle n’aime pas les olives noires, donc n’a pas trop accroché, on le savait. Elle a quand même mangé la moitié de sa part en triant un peu.
Avouez, vous avez lu 2 fois le titre d’un air incrédule en pensant très fort que je débloquais complètement…! Alors, certes, Monsieur sera ravi de confirmer que ça m’arrive, mais là, non. J’ai goûté cet assemblage dans un resto libanais (en me disant que jamais je n’aurais eu l’idée d’associer les deux, donc que ça valait le coup de tester) et j’ai trouvé ça très bon, d’où cette tentative de reproduction à la maison.
Je n’avais pas de recette, donc j’ai fait un peu comme je le sentais. Comme quand j’ai une recette cela dit. Bref. Donc il vous faut : de la courge (ici j’ai mis 2 bébéternuts –le terme est de Monsieur), des épinards (un sac d’une distribution), des épices qui fassent un peu libanais –j’ai mis du cumin et du paprika. Si j’avais eu du zaatar, c’est ce que j’aurais mis ; il faut aussi du boulgour, et j’ai ajouté du fromage râpé même si je suis assez sûre qu’il n’y en avais pas dans la recette que je tentais de copier : pour la tenue et parce j’aime bien.
D’abord, après l’épluchage réglementaire, on met à cuire boulgour et butternut. Le boulgour cuit en 10min, le butternut je veux en faire une purée donc j’attends un peu plus longtemps.
Pendant ce temps vous pouvez laver vos épinards, généralement ça prend un peu de temps. J’ai lavé les 2 sacs que j’avais, et le trempage a fait du bien à ceux qui étaient dans le frigo depuis 3 semaines, honte à moi.
Une fois les courges bien cuites, on fait une purée.
À laquelle on rajoute les épices et le fromage râpé.
Puis le boulgour.
Il est temps d’essorer les épinards et de monter le gratin en couches.
On notera que c’est un plat que je pourrais dédicacer à mon pommes pote tant les couleurs rappellent le drapeau irlandais !
Au resto libanais, la triple couche était assez ferme et je pense qu’elle avait été cuite à la poêle. Mais il fallait que je me rende à l’évidence, mon mélange boulgour-courge était impoêlable. Peut-être aurais-je dû le densifier à la farine ou à la maïzena ? J’ai considéré que ce serait plus agréable de ne pas le faire et donc l’option cuisson au four s’est imposée d’elle-même.
Comme c’était devenu un gratin assumé, j’ai remis un peu de fromage râpé sur le dessus.
Une petite vingtaine de minutes plus tard et c’est bon.
Bilan : Mademoiselle a décidé qu’elle n’aimait pas trop (et a donc proposé d’elle-même d’en manger seulement 8 cuillerées. Comme elle avait l’équivalent de 8,5 cuillerées dans son assiette, nous avons généreusement accepté son offre… elle a donc tout mangé sans faire d’histoires, ça ne lui déplaisait pas tant que ça). Mademoiselle II a fini son assiette bien vite et il a fallu la resservir (2 fois…). Monsieur et moi avons trouvé ça fort bon et original. Encore une victoire de canard !
Commentaires fermés sur Le régal de Mademoiselle II
Mademoiselle II aime manger, c’est un fait avéré depuis… qu’elle mange. Mais la soupe, ce n’est pas ce qu’elle préfère. Elle en mange bien sûr, puisque ça se mange, mais si elle a le choix, elle choisira toujours autre chose. Ça doit être le côté frustrant de la soupe qui est avalée avant d’avoir eu le temps d’en profiter. Et un jour, j’ai eu une idée.
Voici donc : le régal de Mademoiselle II.
Il faut : une bonne sousoupe des familles (ici, courge, panais, patate douce, oignon, une valeur sûre) ; du bon pain de Stan notre boulanger ; une assiette licorne (si, c’est mieux, c’est Mademoiselle qui le dit, elle a étudié la question en détail).
Coupez une tranche épaisse de pain. Mettez-la dans l’assiette licorne.
Versez la sousoupe dessus. Attendez 5 minutes.
Et voilà une délicieuse soupe qui reste en bouche et dont on profite pleinement !
Après un titre comme ça le suspens sur les ingrédients est léger léger.
Mademoiselle adore les crevettes. Le fait que sa Tata adorée l’appelle Ma Crevette n’y est sans doute pas étranger. Ainsi, lors des dernières courses, elle a subitement demandé à acheter des crevettes. « Et du poisson ? -Et du poisson ! ». Et à la maison, on a un petit plat que tout le monde adore : le poisson au lait de coco et aux crevettes.
Il faut du poisson (le cabillaud est parfait en texture et en goût), des crevettes, de la crème de coco. Jusque là, vous les aviez. On ajoute un peu ce qu’on veut bien sûr, donc j’ai mis un gros morceau de la non moins grosse courge qu’on a eue la semaine dernière ; et des épices (curcuma+colombo, mais curry, ou massalé, ça aurait été aussi).
On coupe la courge en morceaux de taille « bouchée », et on met tous les ingrédients dans une cocotte.
La crème de coco est assez épaisse, mais à part pour bien rincer la brique de crème de coco, pas besoin d’ajouter d’eau : la courge rend de l’eau, le poisson rend de l’eau, les crevettes rendent de l’eau, c’est tout juste si les épices ne rendent pas d’eau, donc vraiment, pas d’inquiétude, ça ne sera pas sec.
Après un mijotage à couvert d’une durée raisonnable (une grosse demi-heure à feu doux), ça sent hyper bon dans la cuisine et Mademoiselle commence à demander en continu quand est-ce qu’on mange.
Ça va admirablement bien avec du riz.
Un régal, donc. Mademoiselle s’est resservie deux fois, et Mademoiselle II a descendu la moitié de mon assiette. J’ai pu dire à la crèche que c’était bon, qu’elle n’était pas allergique à la noix de coco non plus.
Vous connaissez peut-être mon amour tout relatif pour le céleri. Disons qu’entre me manger la main et manger du céleri, je préférerais sans doute manger le céleri. Ça reste léger comme passion.
Heureusement à la maison, je suis la seule à ne pas aimer ça, donc il y a toujours preneur.
J’ai proposé à Monsieur de faire des frites de céleri. « Ou des chips plutôt ? – Si tu veux des chips tu les fais toi-même (ndlr : la flemme de couper si fin). – Non mais des frites c’est bien ! ».
Je sentais que mes arguments pour les frites avaient fait mouche, donc go. Épluchage et coupage du céleri en forme de frites. Je ne suis pas au régime sans légumes, donc je me suis fait des frites de courge sur le même principe à côté, histoire de ne pas les regarder manger.
Un filet d’huile, et au four une vingtaine de minutes.
Alors c’est très bon (dixit Monsieur pour le céleri et moi pour les courges –j’ai oublié comment on conjugue dixit à la 1ère personne du singulier… 23 ans que j’ai arrêté le latin, je trouve que c’est une bonne excuse. Bon allez, parce que vous insistez, je vais regarder : dixit Monsieur et dixi-je). Mais il aurait fallu les espacer plus sur la plaque pour que ça ait un semblant de côté croustillant. Donc prévoir 2 voire 3 fournées pour la même quantité.
Pas tout à fait le résultat escompté de point de vue texture, mais fondant et goûteux à souhait !
Commentaires fermés sur Couscous improvisé au panais [par Élise]
Je ne sais pas chez vous, mais chez nous le panais n’a pas trop de succès. Cela faisait une semaine que le gros panais trônait et nous regardait l’âme en peine (notez la belle allitération… j’ai l’humeur poète…).Bref il fallait lui faire un sort. J’avais de bonnes merguez de bœuf de la ferme de Bérénice (achetées au marché fermier de l’association le Goût de notre ferme à Beaugé à Villenave d’Ornon https://www.legoutdenotreferme.fr/les-producteurs/
Petite page de pub : marché fermier de Noël le 11.12 !)
Il était donc temps de faire un coucous !
J’ai fait revenir 2 gros oignons. J’ai ajouté 2 poivrons et une vieille aubergine un peu sèche. J’ai ajouté le gros panais débité en grosses tranches, 4 ou 5 carottes. J’ai mouillé pour que les légumes soient à demi dans l’eau. J’ai saupoudré généreusement de raz el hanout. Salé. 2 gousses d’ail.
10 minutes plus tard j’ai ajouté 2 patates douces et un demi potimarron débité en grosses tranches. Ça a cuit assez vite (20 minutes ?). Les panais étaient très fondants et avaient bien pris les épices.
Les enfants ont aimé et ont même redemandé du panais donc j’appelle ça… une victoire !
Pour varier les plaisirs avec les courges, je vous propose une recette bien d’hiver, que j’ai testée hier. Il ne vous a pas échappé que nous avions eu de la courge mardi. Alors pardon, je ne suis pas experte en courges, je ne connais pas le petit nom de celle-ci, mais de toute façon même si les formes changent, globalement quand on peut faire une recette avec une, on peut la faire avec les autres. Il faut donc : – la courge incriminée – des oignons – des lardons – du fromage tartiflettable. Je n’avais pas de reblochon sous la main, mais j’avais un délicieux Saint Nectaire, et le Saint Nectaire, c’est bon quand c’est cru, mais quand c’est cuit ça tue tout ! – d’autres ingrédients polémiques peuvent être utilisés, comme du fromage râpé ou de la crème fraîche, on n’a pas tous la même façon de faire la tartiflette.
Première étape : faire précuire la courge (pour la tartiflette je fais précuire les pommes de terre, même motif, même punition). Donc on enlève les graines, on coupe en morceaux de taille raisonnable…
… et hop, à la flotte.
Ensuite, c’est le tour des oignons. Notez l’accessoire indispensable si on veut avoir la classe dans sa cuisine et avoir un gros rond autour des yeux une fois son méfait accompli (mais les yeux qui ne piquent pas). Monsieur s’est plié de rire en me voyant, mais pas plus courageux que ça, il n’est pas resté longtemps dans la zone d’évaporation du sulfate d’allyle…
Je mets les oignons à revenir avec les lardons.
Et enfin le montage de la courgiflette : dans un plat à four, je mets une couche de courge (une couchrge ?) :
… une couche d’oignons aux lardons…
… et une couche de saint Nectaire.
15 min à four chaud et on obtient un plat bien appétissant :
C’est toujours pareil, un gratin, si on veut qu’il soit bien présenté dans l’assiette, il faut le faire cuire dans des plats individuels.
Mais c’était délicieux. Même que quand Monsieur et moi on en a repris, Mademoiselle s’est affolée « eeeeh, ne prenez pas touuuuuut ! ».
Voici un titre d’article qui ne ferait pas honte à un menu chic ! C’est l’effet de la particule. Sucrine du Berry, c’est plus classieux que sucrine berrichonne. Même si c’est toujours une courge.
Et la cardamome avec son petit parfum distingué, elle me choque toujours un peu l’oreille, mais c’est ma faute : pendant environ 3 décennies (bon allez, peut-être 2 seulement, mettons que la 1ère ne compte pas), j’ai cru qu’on disait cardamoNe. Je trouve que ça aurait sonné mieux, mais je n’ai pas le pouvoir de décider de ces choses-là.
Et donc cette noble sucrine, elle va présentement finir en soupe avec la cardamome. En velouté, même.
Il faut : de la sucrine, de la cardamome (si si, je vous assure !), des oignons. De la crème pour le côté velouté. Du bouillon cube ou du sel si vous ne comptez pas servir cette soupe à une toute petite personne.
Et une cocotte-minute parce qu’aujourd’hui vous êtes pressés, votre moitié vient de proposer à ses parents de rester manger alors que rien n’était prêt et nonobstant ce contretemps, vous voudriez vous coucher tôt (c’est un exemple hein, il y a plein de raisons d’être pressé).
Il faut donc peler la sucrine, en ôter les pépins et la couper en morceaux. Pareil pour les oignons. Épargnez-vous la laborieuse car vaine recherche des pépins d’oignons. Vous pourriez à la rigueur trouver des graines si vous aviez sous la main un plant dont le bourgeon serait devenu fleur, mais dans ce cas il n’y aurait plus grand chose à tirer de l’oignon, donc cette remarque est nulle et non avenue.
Pour la cardamome, j’ai pris 3 capsules et je n’ai mis que les graines contenues à l’intérieur dans la soupe.
Voilà il ne reste plus qu’à ajouter de l’eau en quantité raisonnable et à faire cuire.
À la cocotte, j’ai laissé cuire 15min après le sifflement de la soupape et c’était largement bon.
Je suis une piètre reporter culinaire, j’ai oublié de prendre une photo de la soupe une fois passée au mixsoupe (la raison de cet oubli est la même que celle qui m’a conduite à utiliser une cocotte-minute aujourd’hui). Mais bon, ça ressemblait à une soupe orange…
Ce qui est important, c’est de rajouter la crème, ou le lait, ou le boursin si on veut un velouté.
Bilan : en termes de texture, elle supporterait d’être épaissie par une ou deux pommes de terre. Et en termes de goût, moi, j’adore. Je trouve que la cardamome apporte un peu comme l’ajout de lait de coco dans la soupe d’il y a quelques semaines : on passe d’une bonne soupe standard à une bonne soupe avec une petite touche exotique. Il ne faut pas abuser pour garder ce côté « ça change » mais c’est très agréable.
J’ai eu la chance d’être invitée il y a peu au resto gastronomique « Sens bistrot contemporain » de Bordeaux. Dire seulement que c’est très bon ne rend pas hommage à la qualité de ce qui est servi. Parmi les plats, un travail sur le butternut m’a particulièremententhousiasmée : cannelloni de butternut fourré à la mousse de butternut, chips et pickles de butternut et, ce qui nous intéresse ici, velouté de butternut à la cardamome.
J’aime bien la cardamome mais elle ne rentre pas dans ma culture culinaire : je ne sais pas où en mettre et surtout je n’y pense pas. En velouté c’était un régal, on a eu un butternut mardi, je me suis dit que c’était l’occasion.
Là, les plus attentifs remarqueront qu’il n’est pas question de cardamome dans le titre de cet article. Et en effet, cette introduction est une grosse arnaque parce qu’en cherchant une recette de soupe butternut/cardamome (surtout pour avoir une idée de la quantité de cardamome à mettre), je suis tombée sur une recette de soupe courge, carottes, coco (soupe 3C) qui m’a fait dire que la cardamome, ce serait pour plus tard.😇 Je suis contente que vous soyez contents d’avoir lu tout ça pour rien.
Il faut donc : de la courge, 4-5 carottes, 2 oignons, 20cl de lait de coco, 2 cuillères à café de cumin, de la mimolette.
Là encore, arnaque sur la photo parce que finalement je n’ai pas mis de butternut mais du potimarron. Et en attrapant le potimarron, je suis tombée sur le radis asiatique qui m’a fait un clin d’œil parce qu’il était convaincu que dans 3 semaines il serait encore dans le tiroir à légumes, lui. J’aime pas les insolents, il a donc fini dans la soupe aussi.
En coupant le radis j’ai eu l’occasion de constater que c’était très bon, cru, et qu’il aurait fait une très bonne salade. Mais c’était trop tard, il a assoupi (atterri dans la soupe) comme le reste.
Tout est dans la casserole sauf le lait de coco et la mimolette. Je couvre d’eau, j’arrive à la marque des 4L, je me dis pourvu qu’elle soit bonne, parce que 4L de soupe quand même, on n’a pas fini d’en entendre parler de celle-là…
Quelques dizaines de minutes plus tard, le radis est toujours un peu violet, ce qui est notable, vu la propension des légumes violets à changer de couleur à la cuisson…
Je passe tout ça, le potimarron et les carottes reprennent leurs droits en terme de couleur.
Il est temps d’ajouter le lait de coco. J’ai voulu la jouer artistique et la dure réalité de mon absence de talent m’a anéantie un moment.
Tant pis, le mixsoupe n’était pas encore rangé, j’ai fait disparaître toute trace de fleur et la honte qui allait avec.
Pour la présentation, c’est à la mimolette de jouer : je l’ai « épluchée » à l’économe sur la soupe, comme d’autres mettent de l’emmental râpé.
Bilan : gros succès auprès de Mademoiselle II. Le lait de coco donne un petit goût exotique sans écraser le reste (le pauvre, 20cL face à 4L!), c’est très agréable. Et finalement ça nous a tellement plu qu’on n’en a eu que pour un repas (et 3 ou 4 biberons).