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Haro sur le fenouil – partie II

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Autre essai : l’idée de la jeune woofeuse* qui aidait David à la distri ce soir (pardon, je ne connais pas votre prénom) : fenouil râpé avec une vinaigrette à l’orange. Elle a marqué des points en signalant qu’elle n’aimait pas le fenouil mais que comme ça c’était bon.

1ère étape : râper le fenouil. Je ne vous cache pas que le robot a galéré comme un fou, les fibres ayant décidé que bloquer la râpé était l’idée du siècle.

Ça donne ça. Il aurait sans doute mieux valu mettre une râpe un peu plus grosse.

Ensuite, vinaigrette à l’orange. J’ai commencé basique avec du jus d’orange pur.

On sent certes moins le goût du fenouil mais c’est pas folichon. Monsieur a fait remarquer qu’un trait de citron compléterait agréablement le jus d’orange. Oui, mais je n’en ai pas sous la main. Je continue mon travail de recherche : ajout d’une cuillère de vinaigrette (vinaigrette balsamique, huile de tournesol, ciboule, un peu de sel).

Là je me suis resservie tellement c’était bon et tellement j’en avais pris peu le premier coup, mais il faut quand même bien admettre que face à la ciboule, le fenouil n’en menait pas large. Il aurait été plus honnête de ma part de tester sans la ciboule (ben oui mais c’est trop bon aussi, j’ai pas pu m’empêcher).

J’ai fini moins hypocritement mon repas par de la salade avec ma vinaigrette ciboulée de tueur, et y’a pas à tortiller, c’est délicieux même sans ruse pour masquer le goût !😇

Les demoiselles étant toutes les 2 fiévreuses, elles n’ont pas eu l’heur de déguster mes expérimentations fenouillesques. Mais ça a fait un authentique heureux en la personne de Monsieur de retrouver son cher fenouil !

*woofeuse : rien à voir avec les aboiements. C’est quelqu’un qui pratique le woofing, dérivé de l’acronyme WWOOF, de Willing Worker On Organic Farms, «travailleur bénévole dans une ferme d’agriculture biologique»

Haro sur le fenouil – partie I

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Ça y est, la saison du fenouil revient… c’est super.😒 le problème du fenouil, c’est pas tellement que je n’aime pas ça. Non, le vrai problème, c’est que j’allaite toujours et donc ma saleté de conscience me met la pression pour en manger. J’ai donc profité de la distribution pour glâner des idées.

Commençons par celle de David : fenouil rôti au miel. Easy peasy, du miel, il y a toujours à la maison.

Je badigeonne, j’enfourne à chaleur tournante, et de temps en temps je récupère le miel qui a coulé pour le remettre sur le fenouil avec un pinceau.

C’est prêt en une 20aine de minutes.
La photo laisse penser que le miel a cramé mais quand on avait le plat devant les yeux ça tirait nettement sur le caramélisé. Et ça sentait plutôt bon.

Il y avait moyen de faire une super présentation sur une assiette, mais comme d’habitude, j’ai été prise par le temps.

J’ai quand même mis du persil. Monsieur a tenu à souligner que du fenouil pour faire monter le lait et du persil pour le couper, ce n’était pas très harmonieux. Je lui ai répondu que je n’avais aucunement l’intention d’en manger une grosse part

Bilan : je dois bien admettre que les parties extérieures, celles qui ont bien rôti et qui étaient en contact avec le miel, étaient très bonnes. Je suis plus mitigée sur les parties intérieures, mais Monsieur a trouvé ça absolument délicieux et était ravi.

Une petsite poutsine ben cute et ben d’icitte

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Un événement incroyable est arrivé cette semaine à la maison. Non, 2 d’ailleurs, mais ils sont liés : 1) Monsieur a dit « je crois que j’ai trop mangé ». 2) Il est resté des frites.

Je crois que je n’avais jamais vu ça, un reste de frites…

À tel point que je n’avais aucune idée de comment les re-préparer. Au four ? Les repasser dans le gras ? J’en ai parlé à mes collègues le lendemain. « Pourquoi tu ne fais pas une poutine ? Du fromage râpé, tu peux même mettre une sauce, une fois j’ai goûté avec une sauce carbonara c’était bon ! ».Je n’ai pas souvent eu l’occasion de le dire ici mais j’adore mes collègues.

Il faut donc : un reste de frites (!!!), du fromage râpé, une sauce, un plat qui va au four.

Comme sauce, je n’ai pas fait de carbo, j’ai pris la sauce du panier de mardi, tomate basilic, qu’est-ce qu’elle est bonne cette sauce ! J’ai donc empilé frites, sauce et fromage. Et hop, au four !

Après 15min, c’est juste bien gratiné comme il faut. Notez la petite portion de poutine avec des frites non salées pour Mademoiselle II…

Une fois servi, ce n’est plus présentable, bien sûr !

Bilan : c’est très bon, indiscutablement. En revanche la sauce étant assez liquide, elle imbibe les frites qui du coup perdent leur croustillant. Peut-être qu’une carbo un peu plus épaisse apporterait une amélioration de la texture !

Petits sandwiches frais sans façon

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L’autre jour (ouh la ça sent la grande anecdote), sur l’emballage du bleu de Bresse (haha, je vous avais prévenus), il y avait une recette (et bam !, vous êtes scotchés, je le savais !). Voilà, c’est tout, bonne nuit !

Après un teasing pareil, je ne peux pas ne pas vous raconter la suite. Et donc cette recette : bagels au bleu de Bresse (ça alors) avec du bleu de Bresse (encore lui), de la salade et autre chose que j’avais oublié. J’ai pensé que ça devrait être bon mais de tous les ingrédients, je n’avais que… le bleu de Bresse (c’est bien, y’en a 1 qui suit).

Suite de cette aventure trépidante quelques jours plus tard, au supermarché. Mademoiselle a demandé et obtenu des tomates cerises, de la bûche de chèvre, on a eu du mesclun dans le panier de mardi, j’ai toujours… du bleu de Bresse au frigo, et je suis dans un endroit fort adapté pour trouver du pain à bagel. Échec. Il y a de quoi faire des burgers pour tous les visiteurs de la Fête de la Morue, mais pas un seul paquet de bagels. J’avise un sachet de pains typés bretzels. Allez, pour une fois, je ne vais pas suivre la recette à la lettre.😇

De retour à la maison, je prépare mes ingrédients et je propose à Mademoiselle de faire des petits sandwiches avec moi. Réponse enthousiaste.

On notera la présence de bacon (pas Francis, l’autre), c’était pas sur ma recette mais j’en avais et puisque c’était plus des bagels t’façon, un peu de changement en plus ou en moins…

On a commencé par tartiner… le bleu de Bresse. Là, la collaboration de Mademoiselle s’est arrêtée prématurément parce qu’elle me vidait la pile d’ingrédients sans attendre qu’ils soient assemblés. Elle s’est fait virer de la cuisine, la bouche pleine de fromage.

Ensuite le bacon :

Le mesclun sur tout ça et on referme. Et là, vous allez rigoler… je vois une autre recette, sur le paquet de pains bretzelés ! La même chose mais avec du fromage de chèvre et des tomates cerises. Je suis trop une oufette dans ma tête, je décide de varier les plaisirs, il y aura 2 sandwiches de chaque !

Et voilà le résultats une petite entrée bien sympathique et saluée par les critiques en présence.

NB1 : Après la fin des tomates cerises, je les ai remplacées par des radis. C’était tout aussi réussi !

NB2 : Non mais sans blague, vous venez de passer 10 minutes à lire une RECETTE pour des SANDWICHES ! Non mais allô !

Butternut rôti à la crétoise

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Sur une (excellente) idée de Pénélope.

Mardi avant-dernier, mon pommes pote étant absent, j’ai fait la fin de la permanence pommes avec Pénélope (merci à elle). En discutant, elle a parlé d’une recette de butternut rôti avec de la feta, des graines de courge, de la coriandre… même qu’elle m’a envoyé la recette. Le mot magique (coriandre) étant dit, il fallait absolument que je fasse cette recette. Sauf que… quand j’ai fait les courses, la coriandre proposée à l’achat ne sentait absolument rien, ce qui est traumatisant quand on adore ça. J’avais déjà la feta, j’ai décidé de faire à mon idée avec les ingrédients disponibles tout en m’inspirant de la recette de Pénélope.

Il vous faut donc : un butternut (ou une sucrine du Berry ou une courge du même genre) ; de la feta ; des graines de courge ; de l’huile d’olive, du citron (tout ça c’est sur la base originale) ; et j’ai ajouté de l’aillet et des olives.

Après avoir épluché et coupé le butternut en parts de taille raisonnable, j’ai arrosé d’un filet d’huile d’olive, et j’ai parsemé d’aillet et de la moitié des graines de courge : je ne savais pas à quelle vitesse elles crameraient, donc j’ai assuré le coup.😁

Hop, au four à th°7 chaleur tournante, 15 min comme ça et 15 min avec une feuille d’alu dessus pour que ça cuise sans noircir.

Pendant ce temps, j’attrape un citron qui fait le malin et je lui explique que ça va être sa fête.

3 minutes plus tard il se rend compte que je ne bluffais pas et j’ai un jus qui n’attend plus que des compagnons.

Dans le rôle des compagnons : la feta coupée en cubes, le reste des graines de courge, quelques olives coupées petit.

Quand le couteau rentre sans peine dans le butternut, je sors le plat du four.

Et j’arrose le tout avec le jus de citron customisé.

C’est une tuerie. Le côté acidulé du citron avec la texture douce et sucrée du butternut… et le reste des goûts par-dessus, on a adoré. Pour Mademoiselle II, on a écrasé sa part en purée, et c’est parti à toute vitesse (ça se mange, donc elle aime). Mademoiselle n’aime pas les olives noires, donc n’a pas trop accroché, on le savait. Elle a quand même mangé la moitié de sa part en triant un peu.

Bon appétit !

Gratin courge-épinards

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Avouez, vous avez lu 2 fois le titre d’un air incrédule en pensant très fort que je débloquais complètement…! Alors, certes, Monsieur sera ravi de confirmer que ça m’arrive, mais là, non. J’ai goûté cet assemblage dans un resto libanais (en me disant que jamais je n’aurais eu l’idée d’associer les deux, donc que ça valait le coup de tester) et j’ai trouvé ça très bon, d’où cette tentative de reproduction à la maison.

Je n’avais pas de recette, donc j’ai fait un peu comme je le sentais. Comme quand j’ai une recette cela dit. Bref. Donc il vous faut : de la courge (ici j’ai mis 2 bébéternuts –le terme est de Monsieur), des épinards (un sac d’une distribution), des épices qui fassent un peu libanais –j’ai mis du cumin et du paprika. Si j’avais eu du zaatar, c’est ce que j’aurais mis ; il faut aussi du boulgour, et j’ai ajouté du fromage râpé même si je suis assez sûre qu’il n’y en avais pas dans la recette que je tentais de copier : pour la tenue et parce j’aime bien.

D’abord, après l’épluchage réglementaire, on met à cuire boulgour et butternut. Le boulgour cuit en 10min, le butternut je veux en faire une purée donc j’attends un peu plus longtemps.

Pendant ce temps vous pouvez laver vos épinards, généralement ça prend un peu de temps. J’ai lavé les 2 sacs que j’avais, et le trempage a fait du bien à ceux qui étaient dans le frigo depuis 3 semaines, honte à moi.

Une fois les courges bien cuites, on fait une purée.

À laquelle on rajoute les épices et le fromage râpé.

Puis le boulgour.

Il est temps d’essorer les épinards et de monter le gratin en couches.

On notera que c’est un plat que je pourrais dédicacer à mon pommes pote tant les couleurs rappellent le drapeau irlandais !

Au resto libanais, la triple couche était assez ferme et je pense qu’elle avait été cuite à la poêle. Mais il fallait que je me rende à l’évidence, mon mélange boulgour-courge était impoêlable. Peut-être aurais-je dû le densifier à la farine ou à la maïzena ? J’ai considéré que ce serait plus agréable de ne pas le faire et donc l’option cuisson au four s’est imposée d’elle-même.

Comme c’était devenu un gratin assumé, j’ai remis un peu de fromage râpé sur le dessus.

Une petite vingtaine de minutes plus tard et c’est bon.

Bilan : Mademoiselle a décidé qu’elle n’aimait pas trop (et a donc proposé d’elle-même d’en manger seulement 8 cuillerées. Comme elle avait l’équivalent de 8,5 cuillerées dans son assiette, nous avons généreusement accepté son offre… elle a donc tout mangé sans faire d’histoires, ça ne lui déplaisait pas tant que ça). Mademoiselle II a fini son assiette bien vite et il a fallu la resservir (2 fois…). Monsieur et moi avons trouvé ça fort bon et original. Encore une victoire de canard !

Des nouvelles des Jardins de Laporte

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3, 2, 1 …. semez pour l’été !! 🍅🍆☀️

Le mois de Janvier David a passé beaucoup de temps à réparer et construire les tables chauffantes dans la pépinière afin que tout soit prêt pour lancer les semis des légumes d’été.

Et c’est avec beaucoup d’excitation que nous avons commencé à semer les tomates, les aubergines, les poivrons. La majorité sont des semences que nous récupérons d’une année sur l’autre, ce qui permet d’avoir des plants plus vigoureux et adaptés à nos sols d’année en année 🌱💪
Nous avons également commandé quelques semences pour tester de nouvelles variétés de tomates, notamment de la Green Zebra.

Certaines tomates ont déjà bien grandi, les courgettes aussi et elles auront l’honneur de tester un nouvel itinéraire technique. Encore un peu de patience pour en savoir plus !

Et sinon, dans La Béglaise, une photo (et l’article associé) a attiré mon attention…

Le régal de Mademoiselle II

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Mademoiselle II aime manger, c’est un fait avéré depuis… qu’elle mange. Mais la soupe, ce n’est pas ce qu’elle préfère. Elle en mange bien sûr, puisque ça se mange, mais si elle a le choix, elle choisira toujours autre chose. Ça doit être le côté frustrant de la soupe qui est avalée avant d’avoir eu le temps d’en profiter. Et un jour, j’ai eu une idée.

Voici donc : le régal de Mademoiselle II.

Il faut : une bonne sousoupe des familles (ici, courge, panais, patate douce, oignon, une valeur sûre) ; du bon pain de Stan notre boulanger ; une assiette licorne (si, c’est mieux, c’est Mademoiselle qui le dit, elle a étudié la question en détail).

Coupez une tranche épaisse de pain. Mettez-la dans l’assiette licorne.

Versez la sousoupe dessus. Attendez 5 minutes.

Et voilà une délicieuse soupe qui reste en bouche et dont on profite pleinement !

Depuis, elle finit ses assiettes de soupe. 😁

La potée ose

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Non, je n’ai honte de rien, ce n’est pas la peine de regarder le titre avec cet air dubitatif. Aujourd’hui, c’est donc potée, façon stop motion sans budget.

Il vous faut : une cocotte, du chou (panier de mardi), des carottes (panier de mardi d’avant), des oignons (panier d’encore avant, faudrait peut-être voir à en faire quelque chose !), de l’ail, de la moutarde, de la viande de porc.

Après avoir bien lavé le chou, j’ai gardé les parties les plus blanches pour de la salade et j’ai mis le reste au fond de la cocotte. Un blog de recettes un minimum sérieux aurait sans doute conseillé de le faire blanchir avant, mais que voulez-vous, ici c’est pas un blog étoilé !

Ensuite les carottes. Pas épluchées mais bien brossées, et coupées dans le sens de la longueur, sans autre raison que parce que ça change des rondelles.

Là dans ma recette théorique, j’ajoutais du charnu que je pensais avoir. Comme théorie et pratique ne sont que de lointaines parentes, je n’avais plus de charnu, j’ai donc mis du talon de jambon coupé en dés.

Les oignons pour faire du volume (et parce que c’est bon. Ça fait d’ailleurs bien longtemps que ceux de l’AMAP sont préparés mangés digérés : avec la consommation qu’on a ils ont dû tenir 3 jours).

Au jeu des 7 erreurs entre en haut et en bas, il y a quelques gousses d’ail.

Et là j’avais envie d’ajouter une épice mais pas moyen de trouver laquelle. Aucune ne m’inspirait. Jusqu’à ce que je voie le pot de moutarde. Une moutarde à la noix (c’est son goût, pas son évaluation hein !), d’où sa couleur un peu brune.

Un bon verre d’eau dans tout ça (je suis gentille parce que je vous le dis dès le début : moi c’est la cocotte qui m’a olfactivement suggéré d’en mettre après quelques minutes de cuisson), et on laisse mijoter jusquà la cuisson des carottes. J’ai remué de temps en temps.

Alors franchement ça paye pas de mine, mais qu’est ce que c’est bon !!!

Bon appétit !!!

Salade de chou à la coriandre

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Mardi, on a eu du chou. Émeline, décidément de fort bon conseil, m’a dit que quelqu’un lui avait parlé d’une salade de chou à la coriandre et à la sauce soja. Elle avait dit « coriandre », mon cœur était conquis. Oui, parce que la coriandre est l’exact opposé du céleri en terme d’appétence et d’intérêt pour moi. On pourrait dire « ouiiii, c’est toujours des petites feuilles vertes, c’est pareil ! ». Ceux-là peuvent retourner siroter tranquillement leur infusion à la cigüe. Ce n’est pas difficile à différencier : la coriandre, c’est divin ; le céleri, c’est… vert.

Revenons à notre salade. Avec la coriandre, il faut du chou, donc. J’ai mis également un petit bout de gingembre qui me restait du poisson au lait de coco ; et pour l’assaisonnement j’ai mis 2 cuillères de sauce soja, 1 cuillère à soupe de sauce à nem, 1 cs d’huile de sésame et 1 cs d’huile neutre.

Niveau manip, c’est assez simple : il faut tout couper petit : très très petit pour le gingembre, très petit pour la coriandre et petit pour le chou.

Et voilà ! Belle utilisation du chou, un petit goût asiatique très agréable ! Merci pour l’idée !