Produits laitiers

Soupe aux épluchures certifiée écoresponsable

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Vous avez craqué pour les asperges de la Vergnée (de vergne, plante qui pousse ds les marécages). Vous vous apprêtez à les préparer. Je vous conseille de les brosser un petit coup sous l’eau pour les éplucher propres, vous comprendrez vite.

Voilà les asperges dans l’eau légèrement salée, vous en salivez d’avance et êtes peut-être déjà en train de préparer une petite sauce.

Les épluchures, elles, attendent patiemment et résignées le prochain trajet au compost.

Pour la sauce, plein de choix. J’opte souvent pour la hollandaise à ma façon (monter un jaune d’œuf en genre de mayo avec du beurre fondu), on peut faire une vinaigrette standard, ou une vinaigrette en écrasant une fraise dedans, ou simplement mélanger un peu de crème et de citron.

Cette fois, Monsieur a préparé une sauce à base de crème et de noix de muscade, une recette qu’il a trouvée, mais je ne recommande pas. Le goût de la muscade ne va pas avec la douceur de l’asperge je trouve.

Avant d’égoutter vos asperges, goûtez le jus de cuisson. Chez moi on l’a toujours bu dans une tasse avant le repas, j’adore ça. Il paraît que c’est diurétique. Diurétique ou pas, t’facon, quand on mange de asperges, on se le rappelle à chaque passage aux toilettes hein, merci le methyl-mercaptan (vous la ressortirez pour briller en société celle-là !🤭).

Voilà le plat. Il est temps de s’occuper des épluchures. Non pas de les jeter, de s’en occuper ! Pensez developpement durable et recyclage des déchets ! Vos épluchures, elles sont propres, vous avez suivi mon conseil de début de recette. Rajoutez quelques pommes de terre, de l’eau et faites-moi cuire tout ça.

Quand les patates sont cuites, vous mixez, vous passez (pas besoin d’un chinois tout fin, une passoire à nouilles ira bien, c’est pour retenir les fibres), et vous avez une délicieuse soupe aux asperges. Enfin, aux épluchures d’asperges. Si vous mettez une cuillère de crème dedans, vous pouvez faire un effet lunaire qui enthousiasmera vos convives.

Et si vous avez des convives austères, touillez bien, ou changez de convives…

Mes convives à moi (2 petites demoiselles) ont toutes les 2 demandé du rab, et la soupe a été pliée en 1 repas. Nan laisse tomber, c’est une expression, ça se plie pas de la soupe. Non mais ne laisse pas vraiment tomber ton assiette non plus !

Bref, ne jetez plus vos épluchures d’asperges !

Velouté de chou à la moutarde

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2 demi-choux me regardaient drôlement quand je passais à côté d’eux. « Haha, tu sais plus quoi faire de nous hein ! Tu sais même pas ce qu’on est, comme choux, en plus ».

Un mail à gaecfermelaporte@gmail.com plus tard et j’étais fixée sur ce dernier point. J’avais affaire à des franciliens, des racailles du 95 : des choux de Pontoise. Signe distinctif : un peu violacés.

Pour l’idée, David avait parlé de soupe, mardi. Et je me disais que ce serait bon, une soupe avec du chou et de la moutarde.

J’ai trouvé ça, et ça avait pile poil la tête que je cherchais, donc je me suis mise au travail.

Il faut 1 chou. J’en ai 2 demis, mes lointains cours d’arithmétique ont validé l’équivalence. J’en ai fait plein de petits bouts que j’ai mis à cuire dans l’eau de mon nouveau cuit-vapeur (z’avez pas fini d’en entendre parler de celui-là !).

Finalement il n’y a que les trois quarts des deux demi-choux qui ont réussi à rentrer. C’est à dire qu’il me reste une moitié de moitié, hihihi (c’est bon vous suivez ?) ! J’ai presque regretté d’avoir formellement interdit à Monsieur de faire du chou braisé ce midi. Presque.

À l’étage du cuit-vapeur, toujours lui, je fais cuire les 4 pommes de terre. En réalité j’en ai mis 5 parce qu’elles étaient de taille moyenne et aussi parce que comme ça j’avais un peu de rab pour Mademoiselle II qui a la tuyauterie fragile en ce moment. Je préfère la dispenser de chou.

Je me suis fait la remarque que ça devait être la 1ère fois de ma vie que je faisais cuire des patates destinées à une soupe à la vapeur. Mais c’est la recette qui le demande.

Environ 20-30 minutes plus tard tout est cuit, la vapeur sort par mètres cubes et floute les photos la coquine.

J’égoutte le chou et je le mets avec les pommes de terre dans une casserole d’une taille raisonnable. Et il est temps de rassembler les derniers ingrédients : 10cl de lait, 15cl de crème fraîche (2 produits de la ferme des Jarouilles), 1 cuillère à soupe de moutarde à l’ancienne.

On mélange tout, on passe au mixsoupe et on refait chauffer un poil pour que la soupe soit à la bonne température malgré l’ajout des ingrédients froids.

Un régal ! Mademoiselle a râlé quand on a remporté la casserole à la cuisine et a débarqué avec son assiette pour être resservie quand même. Faut dire avec 15 cL de crème, ça ne pouvait pas être mauvais. Ça m’a rappelé le commentaire d’une collègue allemande qui m’avait demandé ma recette de brownies « tu m’étonnes que ce soit bon vu tout ce qu’il y a dedans ! ».

Bon appétit !

Poiro au pesteaux

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Ce soir en rentrant, j’avais en tête la soupe poireaux pommes de terre que j’avais préparée la semaine dernière mais que Monsieur, voulant bien faire et pensant à Mademoiselle II, avait intégralement mixée (alors que ça n’a rien à voir mixé ou non…).

Je me disais aussi qu’il ne fallait pas tarder à transformer le basilic en pesto.

En arrivant dans la cuisine, ça sentait très bon, un mélange de tomates et de basilic, à se régaler rien que par le nez. Et là, Monsieur me sort « je me suis dit que si je ne faisais rien des poireaux, ils finiraient en soupe, et que si je ne faisais rien du basilic, il finirait en pesto. Alors j’ai cherché une recette poireaux basilic. Bon, la 1ère c’était une soupe. Et puis bon, les 2 suivantes c’était à faire au thermomix, mais sinon j’ai pris la 1ère ! ».

J’ai vaguement envisagé de prendre un air outré mais comme ça sentait vraiment bon, je lui ai pardonné pour cette fois.

En creusant un peu sur la recette, j’apprends qu’il a pris des bouts de celle-ci, et des bouts de celle-là pour au final n’en faire qu’à sa tête, quand je pense que j’en entends parler pendant des semaines quand j’ai le malheur de ne pas suivre une recette à la lettre ou de rajouter une petite poignée de raisins secs à droite à gauche… scrogneugneu…

BREF.

Les étapes : il a fait revenir tomates, une partie du basilic, oignons et ail ensemble.

Séparément, il a aussi fait revenir les poireaux dans un peu de beurre.

Il a mélangé la crème fraîche et 2 œufs entiers.

Ça c’est le reste du basilic qui attend son tour…

Le tour est arrivé et le basilic frais mélangé à la crème.

Tout ceci est assemblé élégamment dans un plat au four, saupoudré de fromage râpé et hop, à la cuisson tout le monde !

En 10 minutes c’est prêt, tout était cuit il fallait seulement que ça gratine. Le résultat est joyeusement coloré.

Bon, c’est un gratin, il ne faut pas lui en demander trop en terme de présentation une fois servi… comme d’habitude, si c’est pour des VIP, il vaut mieux faire des parts individuelles !

Mademoiselle n’est pas là pour donner son avis, mais qu’en pense Mademoiselle II ?

Je dirais qu’elle a bien aimé…😏

Des carottes au pesto comme au resto

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Mardi on a eu des carottes. Et mardi dernier aussi et mardi d’encore avant aussi. Et je n’en avais utilisé que 5 ou 6 dans la soupe 3C. Il était temps de faire quelque chose. Ca se conserve bien, mais c’est tellement bon fraîchement récolté ! Donc, ça, c’est un premier point, il fallait que je trouve comment préparer les carottes. Le 2ème point, c’est que la veille, j’avais missionné Monsieur, sans doute en train de glandouiller à apprendre l’allemand sur Duolingo (il veut apprendre à cuisiner le chou rouge), pour faire du pesto avec le basilic de mardi. Il l’a mis dans des bacs à glaçons puis au congel pour des temps plus durs, mais il en restait un peu. Deuxième point, utiliser le pesto non congelé. Avant qu’il ne se précipite sur des pâtes au pesto (c’est bon hein, mais ça ne remplit pas le critère « carottes » !) j’ai cherché une recette et j’ai trouvé « les carottes rôties au pesto« . On pouvait difficilement faire plus simple à partir de mes exigences.

Il faut donc : des carottes (j’ai fait tout ce que j’avais, 3 sacs moins un peu)
du pesto
des graines de courge
du riz
un peu d’huile d’olive
du thym
normalement il faut de la burrata mais je n’en avais pas donc je me suis dit que je la remplacerais par de la crème fouettée salée – et donc il faut du sel.

Chose rare (pour moi), les carottes sont cuites au four, entières. Donc après le brossage habituel (je vous ai déjà recommandé la brosse à légumes ? C’est le gadget dont je me sers le plus dans la cuisine depuis qu’on est inscrits à l’AMAP), j’étale tout sur la plaque du four, un peu d’huile d’olive, du thym (j’en ai planté au printemps, je suis bien contente d’en avoir maintenant !) et c’est parti pour 25 min à 180°C (th°6). Pas tout à fait 25 min d’ailleurs. 15 min d’abord, ensuite je rajoute une grosse poignée de graines de courges, et c’est reparti pour 10 min.

Pendant ce temps, je mets le riz à cuire. Sur la recette c’est du riz complet. J’ai beaucoup d’ingrédients exotiques dans mes placards, mais de riz complet, point. Donc riz basmati (c’est le meilleur de toute façon 🙂 ).

Les carottes cuisent, les graines de courge torréfient, le riz cuit, je m’attaque donc à la chantilly. Une chantilly, ça se réussit à tous les coups si la crème est bien grasse. 45% de MG comme celle de la Ferme des Jarouilles c’est parfait. Je bats donc, je sale, et je remarque le commentaire en bas de la recette qui dit qu’on peut mettre du piment de Cayenne sur les carottes. Je ne suis pas très piments, mais j’ai du piment d’Espelette : ce n’est pas très fort, ce sera joli si j’en mets un peu dans ma chantilly. Go ! Je suis un peu déçue par le faible changement de couleur de la crème espelettée, et je rajoute du paprika pour forcer le trait. Voila, j’ai une chantilly rosée. C’est ce que je voulais !

Une fois que tout est prêt, je prépare l’assiette : le riz au rond, parce qu’avec des carottes cuites entières, il faut une présentation un peu chic, le pesto à côté, la chantilly moulée autant que faire se peut à la petite cuillère, des graines de courges grillées tout partout. Sur ce, Monsieur rentre des courses avec du parmesan (il voulait faire des pâtes au pesto, pour rappel). Parfait, j’en râpe un peu sur l’ensemble, ça devrait bien se marier à l’ensemble ! Et voilà !

Bon, ça laisse une cuisine un peu en bazar, la plaque du four huilée, le saladier de chantilly, le batteur, la casserole de riz, le ramequin de pesto, l’économe pour le parmesan… mais c’est pas grave, c’est Monsieur qui a tout rangé pendant que je couchais Mademoiselle II. 🙂 Et c’est joli non ? (Bien sûr que c’est bon, je ne vous en aurais pas parlé sinon !) Mademoiselle II n’a pas eu droit aux petites carottes rôties, elle a eu droit à une petite purée des mêmes carottes, mais cuites à l’eau, allongée à la crème fraîche, histoire qu’elle dorme bien. Et ça a eu l’air de bien lui plaire (ajouter au bazar du plan de travail le petit mixeur plein de purée de carottes).

Et en dessert pour finir dans les jolies présentations, j’avais préparé le fameux clafoutis aux pommes de la mamie du Monsieur d’Elise !

Le panier et la distribution de la semaine du 26 octobre

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Cette semaine à la salle Saint Maurice*, j’étais de permanence au pain (avec Mademoiselle II qui a été d’une inutilité remarquable dans la distribution).

Aux produits laitiers, c’est Fanny qui officiait :

Et pour seconder David aux légumes, Jocelyne et Michelle. Françoise était bien sûr de la partie, qui en doutait ?, aux contrats.

En apercevant un céleri lors de l’installation, j’ai froncé le nez, tout en me disant qu’il finirait en frites pour la plus grande joie de Monsieur et Mademoiselle. Mais finalement il n’y en avait que dans les demi-paniers, ouf, une semaine de sursis pour moi.

Dans le panier complet, ni céleri, ni poireau, ni chou, ni poivron, mais un magnifique bonhomme d’Arcimboldo avec un pif en panais, des tifs en basilic, des mirettes en potimarron, une bouche en patates, une barbe en carottes et de bonnes joues bien rouges en tomates et betteraves !

Ne vous donnez pas la peine de me traiter de psychopathe, Monsieur le fera dès qu’il aura vu la photo.😇

*Saint Maurice désigne plusieurs saints :
Maurice d’Agaune († vers 287), martyr en Valais, fête principale le 22 septembre, ou parfois le 27 décembre, sans doute par confusion avec Maurice d’Apamée.
Maurice d’Apamée († vers 305), martyr en Syrie ; certains auteurs les confondent avec Maurice d’Agaune ; fête le 27 décembre.
Me voici rassurée, je n’avais encore jamais confondu Saint Maurice et Saint Maurice. En revanche je déduis de cette courte présentation qu’il ne faisait pas bon s’appeler Maurice il y a 1700 ans…!

Le fameux clafoutis aux pommes de la mamie de Monsieur [par Élise]

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De son côté Monsieur a cuisiné  »le fameux clafoutis aux pommes que sa mamie faisait quand il était petit car c’était le dessert préféré de son frère (parce que lui il préférait le 4-quarts) » (super vous savez tout…!) :

– 6 ou 8 pommes (dsl il sait plus trop…) – 100g de farine – 50g de sucre – 3 oeufs – 30 cl de lait

Cuisson 1h : 20 min à 190° et 40 min à 170°

Si vous prenez tous les contrats vous avez un gâteau 100% amap locavore et ça, ça déchire grave, non ? Nous on avait tout de l’amap sauf le lait.
En sortie de four vous pouvez saupoudrer un peu de sucre vanillé ou de cannelle… Miam !

La fondue du viking

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Monsieur est normand, et fier de l’être. Personne n’est parfait. Mais bon en Normandie il y a un truc sensationnel, ce sont les fromages. Ils puent, mais ils puent bon.

Je vous propose aujourd’hui une recette qui utilise un tas de pommes, du pain et de la crème fraîche, parmi les produits de l’AMAP, et en plus vous devrez vous procurer un camembert, un pont-l’évêque et un livarot, aussi appelé petit colonel en raison des bandelettes qui l’entourent. Le livarot ne se trouve pas partout ici, je le remplace par du neuchâtel sans remords.

Coupez les 3 fromages en morceaux, mettez-les dans le caquelon à fondue et ajoutez votre petit pot de crème fraîche.

Pendant que ça chauffe coupez le pain en cubes.

Les pommes finiront en cubes aussi mais ne les préparez pas trop à l’avance elles noirciraient. Compter entre 0 et 3 pommes par personne, elles ne sont pas très grosses.

Quand le fromage a bien fondu dans la crème, il est temps de passer aux hostilités.

Avec du pain…

Avec des pommes (le goût acidulé de la pomme avec le fromage, c’est à tomber par terre) :

Ou en combiné :

J’ai découvert cette recette de fondue normande dans un resto de Rouen qui à l’époque s’appelait Le temps des cerises et depuis quelques années s’appelle Maître Corbeau, et ne propose en entrées, plats et desserts QUE des plats à base de fromage. Ils sont fous ces Normands ! Mais quel délice !

La glace à rien [par Jeanne]

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Aujourd’hui, constatant que j’avais de bons œufs des poulettes de Romuald, de la crème de la ferme des Jarouilles et une sorbetière vide au congel, j’ai proposé à mon ami allemand de faire de la glace.

« Tu veux quoi comme parfum ? » C’est risqué comme question. La dernière fois que je l’ai posée je me retrouvée à chercher partout une mangue parce qu’une copine a pour parfum préféré le sorbet mangue. Mais quelle idée ! Enfin c’est toujours ma copine hein, mais bon, quand même. J’avais aussi été amenée à faire une glace au caramel au beurre salé, une tuerie, si quelqu’un veut la recette…

Bref. Donc mon Allemand, il voulait quoi ? « Euh, une glace à rien. » Wie bitte, qu’est-ce que c’est ça une glace à rien ? L’image de Petit Ours brun goûtant la neige et déclarant que c’est aussi bon que de la glace à rien me traverse l’esprit (on a la culture qu’on peut). « Une glace à rien, juste au lait ! ». Sur ce, pour me prouver sa bonne foi il cherche une recette de Milch Eis, de glace au lait, donc.

1 œuf,
150mL de lait,
30g de crème et
30g de sucre.
J’avais 90g de crème. J’ai fait le grand seigneur et ai tout multiplié par 3. Il faut fouetter les œufs et le lait et le sucre jusqu’à ce que ça mousse, et ajouter la crème elle-même fouettée. Et mettre le tout en sorbetière (j’ai acheté la mienne 15€ sur le bon coin). J’ai été un peu foufou, j’ai ajouté de la vanille en poudre. Plus simple tu meurs…

Quelques heures plus tard, on avait notre glace au lait. Ça a le goût du sunday, la texture d’une glace maison réussie (parce que les ratées elles ont une texture à couper à la tronçonneuse un peu), et c’est très bon, je dois le reconnaître même si je ne partais pas convaincue !

Mais bon, gastronomiquement parlant, je suis contente d’être née à l’ouest du Rhin.😁

La fin des haricots [par Jeanne]

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Dans le panier de cette semaine, des tomates rouges et jaunes, des poivrons violets et verts, des haricots violets et verts, des courgettes, des aubergines, et un concombre.

Au sujet de ce concombre, je tiens à me plaindre publiquement ici. Environ 5 min après être rentrés de l’Estey, Mademoiselle me demande si elle peut s’éplucher un bout de concombre. Je ne me suis pas méfiée, j’ai dit oui. Quand j’ai voulu moi aussi prendre un bout de concombre, il restait ça sur le plan de travail…:

Dans le pot c’est de la sauce à nems, elle aime bien tremper le concombre dedans. Et ELLE A TOUT BOUFFÉ L’AFFREUSE ! Enfin tout sauf 5 cm qui ont fini, eux, dans le ventre de Monsieur. Pour moi walou. Snif. Faites des gosses qu’ils disaient ! La prochaine fois qu’on a le choix entre 1 grand concombre et plusieurs petits, je jure solennellement de prendre plusieurs petits !

Pour se faire pardonner d’avoir participé au carnage, Monsieur a préparé le repas des grands.

Poivrons+tomme de chèvre de la ferme des Jarouilles passés au four :

Et salade préférée de Mademoiselle qui, malgré sa consommation excessive de concombre, a mangé avec plaisir et appétit : haricots violets->verts, tomates jaunes, salade verte, oignons, lardons, vinaigrette à la moutarde.

Tous les haricots n’ont cependant pas fini dans la salade. Certains ont été mixés avec un peu de lait maternel et ont enchanté Mademoiselle II !

Bon appétit !

Les poivrons de la semaine du 20 juillet [par Jeanne]

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Dans le panier cette semaine (je ne l’ai pas sous les yeux, il n’est pas exclu que je confonde avec celui de la semaine dernière) : des tomates, des haricots verts ou violets (qui deviennent verts à la cuisson dixit Julien, c’est pas vraiment la peine de faire les malins à être violets, crus… qui mange les haricots crus ???), des courgettes de formes et de dignité variées, des concombres, des aubergines, du basilic… et l’objet de mon article : des poivrons.

Alors nous, on n’a déjà plus de poivrons, parce qu’il se trouve qu’on avait aussi du fromage de chèvre frais, et que je vous mets au défi de trouver 2 ingrédients qui vont mieux ensemble que des poivrons et du fromage de chèvre.

On peut mettre de la bûche de chèvre, du crottin de Chavignol crémeux, du fromage frais, et le fromage frais on peut aussi l’assaisonner : comme ici avec des échalotes coupées finement, ou dans un tout autre genre avec du cumin (mon préféré !), tout est extra !

C’est pour ça qu’on n’en a plus…😁