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Roulés (courg+racl).ette

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C’est quoi ce titre bizarre ? Rappelez-vous, les développements et la factorisations que vous avez étudiés en maths au collège… Si on développe cette factorisation, on obtient « roulés courgette+raclette », et ça donne une bonne idée de ce dont je vais vous parler aujourd’hui.

Il y a quelques jours je regardais ce qu’il se passait de beau sur facebook, et parmi toutes les photos de gens heureux à la plage, il y a la vidéo d’une recette qui est apparue. Je n’avais pas mis le son et il n’y avait pas de sous-titres, donc la recette que je vous propose aujourd’hui est inspirée des images que j’ai vues, modulo ce que j’en ai retenu, mais ça ne correspond sans doute pas pile poil. Pas grave, la leur, je ne sais pas si elle était bonne, alors que la mienne je peux vous l’affirmer !

Alors il faut : une courgette un peu costaud, un fromage qui fond bien, du jambon, de la chapelure, du parmesan râpé et de l’huile d’olive.

Commençons par faire des tranches toutes finettes de courgette avec un économe.

Quand on en a une vingtaine, on peut préparer les assiettes creuses : une avec l’huile d’olive, l’autre avec un mélange 50/50 de chapelure et de parmesan râpé. NB : je me suis rendu compte en le faisant qu’il serait plus pratique d’avoir des récipients plus longs, afin de pouvoir poser la tranche de courgette dans l’huile et la chapelure, plutôt que de la faire glisser dans le bol, parce que ça a tendance à mettre de la chapelure à côté, et c’est énervant.

Ensuite on coupe des lamelles de jambon de la largeur des tranches de courgette, et on met le fromage qui fond dessus, pareil, à une largeur qui va bien. Pour les fromages, j’ai essayé gorgonzola puis raclette. Là on voit gorgonzola :

Ensuite on roule le tout et on le pose dans un plat qui va au four.

Quand le gorgonzola est terminé, on passe à la raclette : pareil, on la coupe en tranches d’une largeur raisonnable.

Dans mon premier plat, que des roulades au gorgonzola sauf celle du milieu à la raclette, qui arrivera après la photo parce qu’avec les mains pleines de chapelure, je n’avais pas l’appareil prêt à dégainer à tout moment…

Une petite vingtaine de minutes au four à 200°C, et ce qui sort est tout magnifique :

Dans le 2e plat, que des roulés à la raclette, et c’est tout aussi beau :

À servir avec une salade verte.

Bilan : c’est très très bon. La courgette, et peut-être un peu la chapelure aussi, donnent une grande impression de légèreté (alors que bon, fromage fondu, huile, jambon… peut mieux faire). C’est un peu long à faire et on s’en met un peu partout (cf mon commentaire sur la forme du récipient contenant la chapelure), et on s’est dit qu’on retrouverait sans doute le très bon goût de la chose en passant moins de temps en préparation si on le faisait comme des lasagnes : une couche de tranches de courgettes, le mélange de chapelure/parmesan, une couche de jambon, une couche de courgettes, une couche de fromage, etc.

Les roulés sont très jolis, et le lendemain, juste réchauffés, ils se tenaient mieux qu’à la sortie du four qui les a cuit, Monsieur fait remarquer que ça fait de belles bouchées pour un apéritif dînatoire.

Donc la prochaine fois, on essaiera sous forme de lasagnes.

Bon appétit !

Le plat du pauvre

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Coluche disait que l’artichaut était le plat du pauvre parce qu’il en reste plus après l’avoir mangé qu’avant, mais franchement, j’ai écossé les fèves qu’on a eues dans le panier de mardi dernier, et je me demande si ça n’est pas pire :

Et alors la bonne idée, pour compléter les fèves et limiter la frustration de ce qui reste après écossage, c’est de compléter avec des petits pois, mouahahahaha !

Et donc ce soir-là, on a mangé des fèves, des petits pois et des carottes cuits à la vapeur, avec une petite sauce crème fraîche/oseille du jardin.

Et on s’est régalés !

Chou-rave confit (et fenouil confit en bonus)

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Que faire avec des choux-raves ? Déjà moi j’étais super fière de savoir nommer le machin, mais alors de là à savoir le préparer… j’ai donc cherché et mon ami internet m’a proposé de faire des choux-raves confits. Quand il y a « confit » dans une recette, ça sonne bien, ça sonne douillet et confortable, confit-ure, confit d’oignons, confi(t)-serie, tout ça…

Donc : choux-raves confits, go. Il me faut 2 choux-raves (ça tombe bien c’est pile-poil ce que j’ai), de l’huile d’olive, 1 cuillère à soupe de cassonade, 3 cuillères à soupe de vinaigre balsamique (ou à défaut de vinaigre de cidre) et ½ bouillon-cube.

Il faut commencer par peler les choux et les couper en tranches, puis les faire revenir dans l’huile d’olive. En parallèle, je prépare le bouillon : ½ cube et 25 cL d’eau.

Quand les tranches de choux-raves sont bien revenues, on saupoudre la cuillère à soupe de cassonade dessus, et les 3 cuillères de vinaigre.

Très peu de temps après, quand ça a légèrement caramélisé, on verse le bouillon et on laisse cuire à couvert 12 minutes.

Et enfin on enlève le couvercle et on laisse le bouillon s’évaporer.

Voilà, il reste à servir. C’est tendre, légèrement sucré, un petit goût de chou pas écrasant, c’est très agréable. En revanche, ça n’est pas du goût de mes demoiselles (même en ayant fait croire à Mademoiselle II que c’était de la pomme de terre, en fourbes).

Elles ont préféré le fenouil confit, les chipies ! Là, je n’ai pas pris de photos lors de la préparation, mais ça se résume en 1 phrase : une fois le fenouil coupé en cubes, on met les cubes dans un plat qui va au four avec le jus d’un citron, la même quantité d’huile d’olive et un peu d’herbes de Provence, et on laisse cuire environ 20 min, en touillant de temps en temps pour que le fenouil soit bien recouvert de marinade.

Vous connaissez mon amour très modéré pour le fenouil… eh ben ça sent tellement bon que j’ai goûté de mon plein gré, alors que Mademoiselle III n’est pas encore née et que donc je n’ai pas à me forcer pour favoriser la montée de lait !!! Donc je recommande encore plus à tous ceux qui aiment le fenouil pour de vrai, d’ailleurs Monsieur était ravi.

Bonne dégustation !

Nounouilles aux courgettes citronnées

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Mademoiselle II commence à causer. Ou plus exactement elle papote en permanence, qu’on ne peut plus la faire taire. Et elle, elle associe le fait de parler à un droit de donner son avis sorti d’on ne sait où. C’est ainsi que quand j’ai annoncé que « ce soir, c’était poêlée de courgettes », elle, elle a demandé des « nounouilles ».

Comme je suis une maman conciliante, j’ai fait des nounouilles aux courgettes.

Pour les courgettes, simplement passées à la brosse sous l’eau, ça ne sert à rien de les peler, un passage à la mandoline m’a donné des bâtonnets tout mignons. J’ai fait revenir ces bâtonnets quelques minutes dans un filet d’huile d’olive avec 2 gousses d’ail et une cuillère à café d’herbes de Provence.

J’ai eu envie d’une note acidulée et j’ai zesté environ un quart de citron bio dans les courgettes. L’odeur déchirait tout, mais l’expérience a montré qu’il en aurait fallu un poil plus.

Pendant ce temps j’ai fait l’inventaire des nounouilles disponibles et je suis tombée sur ces grosses coquillettes, que j’ai fait cuire à mon goût (c’est à dire un peu plus longtemps que fondantes, je ne suis pas partisane de l’al dente, mais chacun gère la cuisson comme il aime).

Et enfin j’ai mélangé nounouilles et poêlée de courgettes citronnées.

C’était très bon, vu la prise de risque il n’y avait pas trop de doutes, mais le goût du citron était vraiment très très (trop) léger. À refaire, soit je mettrais un peu plus de zeste, soit j’arroserais d’une cuillère à soupe de jus de citron ou de mélange huile d’olive/jus de citron à la fin.

L’important, c’est que Mademoiselle II se soit régalée avec ses nounouilles.

Soupe chinoise – recette de Chine

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Il y a fort fort longtemps (12 ans, exactement), j’ai entrepris de mettre sur ordinateur mes cahiers de cuisine manuscrits. J’avais été interrompue dans ma tâche par un retour au travail plus rapide que prévu. Ma meilleure copine m’a rappelé récemment mes bonnes résolutions et je me suis remise à l’ouvrage. Résultat, j’ai l’impression de faire de l’archéologie, je retombe sur des recettes que je n’ai pas faites depuis 20 ans (oui, mes 1ers cahiers de cuisine sont très très vieux, j’écrivais encore bien et au stylo à plume à l’époque, c’est dire !).

La recette que je vous propose aujourd’hui n’a pas 20 ans mais est quand même assez vieille. Dans une ancienne vie j’ai travaillé dans une entreprise qui avait une filiale à Suzhou, en Chine, et le responsable de cette filiale nous avait envoyé une recette locale pour la gazette à laquelle je contribuais. Il se trouve que parmi les ingrédients, il faut du chou chinois, et qu’on en a eu il n’y pas longtemps dans un panier. Voici donc une recette de soupe chinoise directement venue de Chine.

Il faut : du chou chinois (ou un autre légume qui cuit vite), des champignons blancs (type de Paris), des champignons moins blancs (type pleurotes), de la cive ou ciboule ou oignon nouveau, de la coriandre, des nouilles de riz (ou des spaghetti), du bouillon de volaille (ou bouillon cube).

La première étape consiste à tout couper en petits morceaux. Vous pouvez exploiter vos enfants mais il faut savoir que ça ne représente pas forcément un gain de temps.

Une fois que tout est en petits morceaux, c’est joli comme tout. Pour les champignons « bruns », j’ai trouvé 2 types différents, des pleurotes et des shitake. Je n’y connais rien en champi, donc j’ai bien vu les 2 étiquettes mais je ne savais pas lesquels étaient lesquels. Mais comme c’était marqué « type pleurotes » sur la recette et que shitake ça sonnait bien oriental, j’ai pris les 2, je suis une ouf guedin.

La suite se fait au wok. Dans la recette, il n’y avait aucune quantité de précisée, donc faites au mieux, mais au moins mesurez combien vous mettez d’eau pour savoir combien mettre de bouillon-cubes. Donc on commence par faire bouillir de l’eau.

Quand ca bout, jetez les champignons bruns dans l’eau.

À la reprise de l’ébullition, ajoutez les champis blancs et le chou.

À reprise de l’ébullition, ajoutez les bouillons-cubes et les nouilles.

Les oignons nouveaux sont à ajouter tout à la fin. Personnellement j’ai fait 2 bols : un avec les verts qui n’ont pas besoin de cuire et un avec le blanc. Donc quand les nouilles sont cuites, j’ai ajouté les blancs d’oignons. Et quelques minutes après, on peut couper le feu et ajouter les verts d’oignon et la coriandre, tout à la fin comme ça garde bien le goût !

Et voilà, il reste à servir.

Succès familial, surtout que les demoiselles étaient très fières d’avoir participé, alors forcément c’est encore meilleur !!!

Sauce verdurette

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Dans les derniers paniers, c’est super on a commencé à avoir des oignons nouveaux (« délice ! » comme dit Mademoiselle). Mais bon, on a aussi eu du fenouil et du céleri, et ceux qui suivent un peu ce blog savent que, euh, il y a beaucoup de choses que je préfère à ces deux légumes, manière diplomate de dire que je déteste ça. Toutefois, je suis une mère et moitié attentionnée (et je suis la seule à ne pas aimer ça à la maison) et donc même si mes mains sentent mauvais pendant des heures quand je prépare ça, je m’y colle.

L’intro n’est pas finie, je vais aussi vous parler de ma belle-sœur, comme ça vous aurez toute la genèse de la recette que je vous propose aujourd’hui. Car oui, ma belle-soeur est fan des « Goguettes en trio mais à 4 » et notamment de leur chanson « elle est vegan » (accompagnez votre lecture : https://youtu.be/MqRGeWchfRQ). Il y est question d’un homme qui tombe amoureux d’une vegan et qui se retrouve à devoir renoncer à beaucoup de bonnes choses ; et alors qu’il rêve de fromage et de bœuf, il se réveille et elle a préparé pour le petit-déjeuner du fenouil vapeur. Voilà, la transition entre ma belle-soeur et la recette est là. Comme ladite belle-soeur devait venir le soir-même, j’ai voulu lui faire plaisir.

J’ai ainsi fait cuire à la vapeur fenouil (entier), céleri (en grosses tranches) et, histoire qu’il y ait quand même quelque chose pour moi dans le lot, les brocolis.

Et comme des légumes vapeur, ça a beau être bon, c’est pas non plus ce qu’il y a de plus foufou, j’ai cherché une sauce-du-tonnerre pour rendre le tout plus excitant. Et j’ai trouvé, dans une feuille manifestement arrachée dans un magazine et soigneusement pliée dans un livre de recettes sobrement intitulé « sauces » : la sauce Verdurette.

Je vous laisse lire l’original ci-dessus et la version adaptée au contenu de mon frigo ci-dessous.

J’ai pris 2 gousses d’ail, du persil, des herbes de Provence, 7-8 feuilles d’épinards frais du panier du jour, 1 cuillère à café de moutarde, et 2 yaourts nature (notez les pots en verre : je suis très fière d’avoir recommencé à faire nos yaourts maison. On jette 7 fois moins de pots qu’avant – et une brique de lait entier en plus tous les 7 yaourts).

La recette n’est pas compliquée compliquée : il faut tout mixer ensemble.

Et on obtient une petite sauce qui sent très bon, relevée juste comme il faut, et toute verte.

Il est temps de servir. J’ai fait réchauffer les légumes à la poêle dans une noisette de beurre, disposé les tranches de céleri au fond et le fenouil et le brocolis plus esthétiques dessus, et versé la sauce (froide) dessus.

Pour moi, assiette exclusivement brocoliesque.

Les petites n’ont pas goûté, l’une parce que très fatiguée et déjà couchée, l’autre parce que ayant préféré la soupe panais-butternut de la veille. Mais nous, les grands, on s’est régalés. Je m’étais faite à l’idée d’un repas un peu tristoune mais ce petit ajout saucier a rendu le tout délicieux !

Bon appétit !

Les polpettes au chou

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Alors autant prévenir tout de suite, je suis un escroc et ce n’est pas une recette de polpette qui suit. Mais c’est ce qui m’a inspirée. Je m’esplique : j’étais en Italie récemment, et j’ai eu l’occasion de goûter des polpettE (pluriel de una polpetta) : de délicieuses boulettes de viande à la sauce tomate. De retour en France, et comme j’avais de la chair à saucisse au frigo, je me suis dit que j’allais faire ma version de polpette à mes poulettes (et à mon Monsieur), mais manque de bol, plus de tomates à la maison. C’est là que mes polpetteS bien françaises ont commencé à sérieusement dériver des polpettE italiennes originales, parce que je me suis dit que j’avais du chou et que je pourrais peut-être emballer mes boulettes dans des feuilles de chou, que ça devrait être bon. Et pour accompagner tout ça, j’avais de l’aillet. Entre autres. Dont acte.

Tout d’abord, j’ai fait blanchir le chou (pour ramollir les feuilles), donc passage d’une 10aine de minutes dans l’eau bouillante. Il a arrêté de faire le malin avec ses feuilles un peu rouges, tout est devenu vert plus ou moins clair. Pendant ce temps on a le temps de nettoyer et couper l’aillet en tronçons. Qu’on jette avec ménagement au fond de la cocotte, avec un filet d’huile. J’ai trouvé que ça faisait léger comme accompagnement donc j’ai ajouté 4 (petits) oignons.

J’ai remarqué que j’avais quelques tomates cerises aussi et que le rouge (et le jaune) seraient du plus bel effet avec le vert de l’aillet et le blanc de l’oignon, petit rappel esthétique à l’Italie natale de mon idée de recette.

Pendant que l’accompagnement revient tranquillement, j’emballe mes boulettes dans le chou.

Et j’ajoute les boulettes emballées dans la cocotte.

J’ai ajouté un grand verre d’eau pour qu’il n’y ait pas de risque de cramade et en me disant que ça ferait un bouillon-sauce très goûteux. J’ai également mis un tout petit bout de gingembre frais, mais tout petit pour qu’il parfume légèrement sans prendre le pas sur tout le reste.

Une grosse demi-heure après, c’est cuit !

On a mangé ça avec du riz. C’est bon, mais c’est bon !!! Mademoiselle II a mangé 2 boulettes à elle toute seule et en a re-piqué un bout dans l’assiette de son papa chéri après (il a grogné un peu mais elle lui a fait un sourire et il était hors d’état de combattre) !

Bref, un peu de temps de préparation (et encore, ça va relativement vite quand même), mais vu le régal que c’est, ça vaut vraiment le coup ! En plus, polpette c’est un nom marrant ! Bon appétit !

Purée minute.

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Il arrive qu’on n’ait pas le temps de cuisiner. Si, ça arrive. Même quand on passe l’après-midi chez soi. C’est pile pour cette configuration que cette recette est parfaite !

Il vous faut : un potimarron et de la crème fraîche. On peut aussi ajouter du fromage râpé ou des épices, mais attention, on va dépasser la minute de préparation s’il y en a trop.

Étape 1 : Sortir le potimarron du garde-manger, le poser dans un plat à four et enfourner le tout à th°6……..durée : 15s

Quand la peau est craquelée, environ 45 minutes plus tard, il est temps de passer à l’

Étape 2 : sortir le plat du four. Racler la pulpe du potimarron avec une grande cuillère et mettez-la dans le plat de service. Ça se détache tout seul, les graines aussi………durée : 35s

Étape 3 : sortir la crème fraîche du frigo (et le fromage râpé si vous avez choisi d’en mettre), ajouter une cuillère de crème à la pulpe et bien mélanger……….durée : 10s.

Et voilà, on arrive à 60s de préparation, pour un résultat simple et délicieux !

Qui dit mieux ?😊

Gratin de céleri aux pommes

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Que c’en est dommage de gâcher des pommes pour ça mais que voulez-vous, on avait un tas de céleri et à la maison je suis la seule à ne pas aimer ça, alors j’en cuisine quand même.

La préparation est assez simple : il faut du céleri, des pommes, de quoi gratiner et de la béchamel. On coupe pommes et céleri en cubes de taille raisonnable.

On mélange le tout avec du fromage râpé dans un plat à gratin :

La béchamel, c’est le classique beurre/farine/lait délicatement touillés jusqu’à épaississement :

On verse la béchamel sur nos cubes, on nettoie tout ce qui est tombé à côté, on remet un peu de fromage râpé, et le tour est joué, il n’y a plus qu’à mettre au four.

Si vous aimez autant le céleri que moi, vous pouvez utiliser le temps de cuisson pour bien vous frotter les mains parce que l’odeur est tenace !!!

C’est un gratin, si vous voulez que ce soit bien présenté au service, il faut faire des gratins individuels hein !

Monsieur était très content, il a trouvé ça très bon. Mademoiselle II avait repéré du jambon sur la table et n’a pas voulu goûter le gratin, elle avait d’autres ambitions. Mademoiselle a tout mangé avant de déclarer qu’elle n’avait pas trop aimé et d’en redemander un peu. Logique, quand tu nous tiens…

Et juste pour la beauté de la couleur, le même jour j’avais préparé une soupe à tout, et notamment à la betterave. C’est toujours spectaculaire après le passage au mixsoupe !

Soupe de jouvence

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Ce n’est pas moi qui le dis, c’est la recette. « Source de protéines », « antioxydante » et « rajeunissante ». Ça vend pas un peu du rêve ça ???

Je vous ai déjà parlé du livre de potions reçu à Noël par Monsieur avec la recette de soupe quinoa/butternut/cumin qui n’avait de soupe que le nom.

On a testé une deuxième recette donc, avec de la patate douce et des noix de macadamia.

Le plus dur, c’est de trouver des noix de macadamia. C’est fou la quantité de noix qui se vendent, pécan, cajou, du Brésil… macadamia je n’ai pas trouvé tout de suite, et ce que j’ai trouvé, c’était grillées et salées. Mais bon, je ne cherchais peut-être pas au bon endroit, ça ne fait pas partie de mon placard de base.

Quand j’ai commencé l’épluchage, je n’avais pas encore en tête de faire cette soupe donc j’ai épluché un butternut. J’ai complété avec de la patate douce en me disant que ça ne devrait pas être catastrophique sur le goût final. J’avais aussi nettoyé/coupé l’aillet qui a ainsi été utilisé en lieu et place de l’ail. De l’oignon, de l’huile de coco, du gingembre, du zeste de citron et bien sûr les fameuses noix complètent la recette.

Ma partie s’est arrêtée là, la suite, c’est Monsieur qui l’a faite, je devais filer. Résultat : il aurait dû y avoir du persil mais comme le nôtre est au congel je ne l’avais pas sorti. Et Monsieur a fait avec ce que je lui avais préparé.

Après cuisson et mixage, on obtient une jolie soupe toute jaune et toute douce, qui a fait le régal de Mademoiselle, mais pas de Mademoiselle II. Nous on a adoré. C’est bon, pas plus long à faire qu’une autre soupe, et ça change !

Une autre différence par rapport à la recette de base, c’est qu’on a mis du gingembre frais et non en poudre. Ça se sent bien dans le produit final, c’est peut-être ce qui n’a pas plu à Mademoiselle II !