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Pickles de carottes et repas orange

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Un jour que j’écoutais France Inter (ça arrive quand même assez souvent), j’ai entendu une recette. Alors autant rendre à César les lauriers qui lui appartiennent, l’auteur de la recette était un dénommé Whoogy’s, mais d’une part je ne suis pas sûre de l’orthographe et d’autre part je dis ça juste pour parler parce que ce n’est pas sa recette que j’ai suivie. En effet, il l’a donnée à l’antenne mais je ne l’ai pas retrouvée sur internet ensuite, donc disons qu’il m’a donné l’idée de ce qui suit, mais la recette vient d’ailleurs (et je ne sais plus d’où)(je ne comprends pas que vous continuiez à lire ce blog vu toutes les choses inintéressantes que je peux y écrire…).

Et donc, sa recette, c’était une assiette toute orange avec de la purée de butternut, des pickles de carottes et « une montagne de mimolette râpée ».

Commençons donc par les pickles de carottes. Il vous faut :
– des carottes qui s’entendent bien
– 1L d’eau
– 60 cL de vinaigre de cidre
– 1 cuillère à soupe de graines de coriandre
– 2 cuillères à café de cumin en poudre
– 1 cuillère à café de sel
– 80g de sucre
– cela va sans dire mais ça va mieux en le disant : il faut aussi des bocaux propres, ébouillantés.

Commencez par éplucher et tailler vos carottes en julienne.

Puis, placez-les dans vos bocaux. Voilà, c’est pour ça que j’avais précisé qu’il fallait qu’elles s’entendent bien, parce que le degré d’intimité est assez faible.

Faites bouillir l’eau, le vinaigre, les graines de coriandre, le cumin, le sel et le sucre.

Oh, ça y est, ça bouille !

Versez le mélange bouillant et vérifiez que les carottes soient toutes recouvertes.

Fermez et laissez reposer pendant une semaine. Après ouverture, c’est à conserver au frigo (je ne sais pas combien de temps ça se conserve, chez nous ça a été mangé tout de suite. J’imagine qu’une odeur nauséabonde est le signe que c’est trop tard).

Et on en arrive au repas orange : vous avez coupé un butternut ou un potimarron en deux et avez mis les 2 moitiés au four pendant 45 min : il suffit de gratouiller la pulpe avec une cuillère et vous avez ainsi une jolie purée.

Je ne suis pas une star des présentations, vous le savez, et il aurait été facile de faire ne serait-ce qu’un bonhomme ou une couronne, mais voilà, moi j’ai fait un tas de purée, un tas de pickles, et j’ai recouvert d’une « montagne de mimolette râpée ».

Le contraste entre l’acidité des pickles, la douceur du potimarron et le salé de la mimolette est super agréable !

Bon appétit !

Oeufs mimosa (recette de Pierre)

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Faire cuire en œuf dur. Enlever la coquille et réserver les jaunes dans une assiette creuse.

Nul besoin de faire de mayonnaise : verser directement de l’huile d’olive dans les jaunes. Mettre une cuillère à café de moutarde en grains, une bonne rasade de curry et du poivre du moulin. Pas besoin de saler, le poisson fumé s’en occupera. Bien mélanger l’ensemble avec une fourchette.

Hacher quelques feuilles de basilic et mélanger aux jaunes.

Remplir les blancs d’œufs avec la farce ainsi obtenue, puis couper de petits morceaux saumon ou de truite fumé(e) et les placer au-dessus des œufs. Saupoudrer d’aneth et placer quelques feuilles de basilic dans l’assiette pour la déco, mais aussi pour manger avec les œufs. C’est délicieux !

Choucroute maison (recette de Pierre)

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Voici une recette tout droit venue, dans l’absolu, du nord-est, et en réalité, de notre ami Pierre, et parfaitement adaptée à nos paniers du moment : la Sauerkraut !

Il vous faut :
– 2 choux
– 20g de gros sel par kilo de chou
– des baies de genièvre

Émincer le chou en fines lamelles, et verser petit à petit l’ensemble dans un grand plat avec le sel.

Bien mélanger l’ensemble puis au bout de 20 à 30 minutes, tasser le chou dans un pot hermétique en laissant 2 à 3 cm en haut pour la fermentation.

Au bout de 3 semaines, on peut consommer en prenant soin de bien rincer la choucroute avant cuisson pour enlever l’aigreur.

Et bien sûr, ça se mange avec des patates et tout ce qu’il faut comme charcuterie !

Chantier ramassage des courges

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Il était une fois, par un beau samedi ensoleillé d’automne, de vaillants amapiens, grands et petits, qui se sont retrouvés aux Jardins de Laporte, chez Émeline et David. À l’inverse d’Astérix, qui finit en banquet, ça commence généralement par un café pendant que les enfants installent leurs quartiers.

Il était une fois, un champ de courges qui produisait tranquillement.

Après la transmission des consignes par Émeline-sans-tête (que celui qui n’a jamais loupé sa photo lève la main !), c’est parti pour le gros du travail.

Il était une fois, une camionnette pleine de cagettes qui étaient bien là, mais qui sont toujours prêtes à rendre service.

Il était une fois, des biscottos qui ne demandaient qu’à s’exprimer.

Il était une fois des courges qu’on retrouvera avec plaisir lors des distributions à venir.

À vos soupes, purées, potimarrons rôtis, etc. !!!

Merci Nathalie pour l’envoi des photos.

Chips zéro gâchis d’épluchures de pommes de terre

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Ce week-end, comme la température du soir se rafraîchit en ce moment, on a décidé que la saison de la raclette était ouverte. Avec la raclette, moi je mange des tomates, mais vous êtes nombreux à manger des pommes de terre. Ça tombe bien, on n’avait pas encore mangé celles d’un panier précédent. Non, ceci n’est pas une intro pour une recette de raclette. Le vrai propos de cet article arrive : il y a une recette que je voulais tester de mon nouveau livre de recettes : Zéro Gaspi, de Jean-François Piège : les chips d’épluchures de patates.

Alors ça implique d’éplucher les pommes de terre avant de les faire cuire, ce qui n’est pas la coutume (en tout cas chez moi) pour la raclette, mais j’ai toujours trouvé plus facile d’éplucher les patates crues plutôt que de se brûler les pattes à arracher lambeau par lambeau quand elles sont cuites. Donc après brossage soigneux, voici ma récolte :

Je n’ai pas encore donné la liste des ingrédients, mea culpa :
– des épluchures de pommes de terre
– des gousses d’ail en chemise
– une branche de thym
– du sel (on parle de chips, quand même)
– de l’huile d’olive

Dans une poêle (prévoyez une poêle pour laquelle vous avez un couvercle assorti), faites chauffer l’huile et jetez-y quelques gousses d’ail et la branche de thym.

Ajoutez-y les épluchures de pommes de terre, et touillez pour que l’huile aille bien partout (je n’ai pas promis une recette diététique, OK ?).

Une fois que l’huile est bien partout, couvrez et laisser cuire tranquillement. Quand les épluchures commencent à dorer, ôtez le couvercle pour que ça sèche un peu, salez, secouez un peu, re-salez.

Faites séjourner vos chips d’épluchures sur du papier absorbant avant de servir.

Vous verrez qu’elles ne resteront pas longtemps sur la table !

Bon appétit !

Velouté de basilic

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Puisque j’ai déjà proposé une recette de pesto ici et que j’ai de toute façon déjà du pesto plein le congel, j’ai cherché une recette pour préparer le magnifique bouquet de basilic qu’on a eu dans notre dernier panier. Je vous présente donc le velouté de basilic !

Il vous faut :
– 1 oignon (mais on aime beaucoup ça alors j’en ai mis 2)
– 3 cuillères à soupe de crème (mais j’ai voulu faire une version allégée alors j’ai mis 1 de crème et 2 de fromage blanc)
– 1/2 L de bouillon de volaille (là je n’ai pas mieux qu’un bouillon cube, mais faites-le avec votre reste de poulet, ce sera encore meilleur !)
– un beau bouquet de basilic (présent !)
– un peu de beurre pour faire revenir les oignons

1ère étape : couper les oignons en morceaux et les faire revenir dans une casserole avec le beurre.

Pendant que le bouillon est en cours de préparation, ça revient tranquillement dans la casserole. Mademoiselle passe « hmmm ça sent trop bon ! – Oui ma chérie c’est normal, ce sont des oignons dans du beurre ». Monsieur passe « hmm ça sent bon ! – Oui mon chéri c’est normal ce sont des oignons dans du beurre ». Mademoiselle II n’a pas fait de commentaire, trop occupée qu’elle était à colorier le canapé au feutre. J’aurais préféré qu’elle trouve que ça sentait bon.

Une fois les oignons quasi-translucides et le bouillon prêt, on mélange les 2. En attendant que ça frémisse, on peut commencer à effeuiller le basilic et à laver les feuilles.

Et hop, les feuilles de basilic, dans la casserole, et on laisse cuire 2-3 minutes (pas plus sinon le basilic va perdre de sa splendeur).

Ensuite, on mixe une première fois :

On ajoute la crème et/ou le fromage blanc, on mixe une deuxième fois :

Et il est temps de servir. Alors vous savez que je ne suis pas très forte sur les présentations, mais vous pouvez imaginer le bol ci-après avec une feuille de basilic frais que vous aurez pensé à mettre de côté avant de tout jeter dans la casserole, voire une petite virgule de crème pour faire joli !

Bilan : on l’a bue tiède, et c’était parfait pour la saison. Le velouté a un bon goût de basilic sans que ce soit trop fort, juste le bon équilibre. Mademoiselle I en a redemandé (mais avec 1/2 L de bouillon pour 4, il n’y avait pas de rab), Mademoiselle II a tout bu sans négociation, et les grands se sont dit que la recette était absolument à garder !

Bon appétit !

Cake zéro gachis aux épluchures de carottes

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C’est l’histoire d’une botte de carottes 🥕 qui allait être mangée. À la maison, on aime les carottes, sous toutes leurs formes. Quand on voit la 2e en partant de la droite avec son pantalon bouffant, on se dit que c’est heureux.

Ma forme préférée, c’est les carottes râpées. Et en ce moment c’est plutôt moi qui cuisine, autant dire qu’on en mange souvent. Et il n’y a pas longtemps, j’ai acheté un livre de recettes. Pas qu’on en manque hein, mais j’ai entendu une émission sur Inter où Jean-François Piège parlait de son nouveau livre et ça m’a donné envie. Zéro Gaspi, qu’il s’appelle, le livre.

Ce sont des recettes avec des restes. Par exemple des épluchures. Par exemple, des épluchures de carottes. Donc, mes carottes à râper, avant de les éplucher, je les brosse (le truc en bas de la photo, c’est une brosse à légumes. Depuis que je l’ai elle sert tout le temps). Et j’ai dû séparer les deux carottes siamoises. Ça a été un déchirement mais je n’arrivais ni à brosser ni à éplucher entre les 2 papattes, et vu ce que l’avenir proche leur réservait, je me suis dit qu’elles ne m’en voudraient pas longtemps.

Quelques minutes plus tard, on a un saladier d’épluchures propres et des carottes râpées tout ce qu’il y a de plus standard, avec la petite vinaigrette faite par Monsieur pendant ce temps-là pour justifier sa présence dans la cuisine, présence qui lui accorde le droit, pense-t-il, de me chiper les carottes épluchées pour les croquer en lousdé. Il y a donc une carotte de moins ci-dessous que ci-dessus, Monsieur s’est pris pour un cheval…

Voici donc la recette dont je vais vous parler aujourd’hui : un cake aux épluchures de carottes.

Il faut :
– 150g d’épluchures de carottes (j’ai pile poil ce qu’il faut avec mes 7,5 carottes ci-dessus)
– 250 g de farine
– 17,5 g de levure chimique (ça fait 1 sachet et demi)
– 150 g d’emmental râpé
– 270 g d’œufs (ça fait 5 gros œufs. Moi j’avais des petits j’en ai mis 6)
– 185 g de lait
– 150 g d’huile d’olive
– 7,5 g de sel

La recette peut difficilement être plus simple : on met tous les ingrédients secs dans un saladier, puis tous les ingrédients moins secs sauf les épluchures et on mélange.

À la fin on ajoute les épluchures de carottes et on remélange.

Hop, dans un moule à cake (oui, c’est un cake quand même, c’est dans le titre, essayez de suivre !) beurréfariné et au four au doux thermostat 5-6 (170°C) pendant 40 min. La recette dit 30-40, et moi j’ai dû le laisser 45 min, mais c’est vous qui connaissez votre four.

Le résultat est parfait, à la hauteur des attentes.

On a mangé ça avec une petite salade verte. Les demoiselles ont adoré, Mademoiselle I en a même repris. L’emmental a complètement fondu dans la pâte, les épluchures ont cuit et sont devenues tendres avec le cake ; et on a goûté chaud et froid, et les deux sont moelleux.

Je me suis auto-condamnée à systématiquement récupérer les épluchures de carottes maintenant !

Bon appétit !

Tomates farcies

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Les tomates farcies font partie de ces plats pour lesquels je me damnerais, ou presque. Mais je n’en mange que trop rarement à mon goût.

En effet : c’est un plat plutôt d’hiver, quand il n’y a plus de tomates ; et quand la saison des tomates bat son plein, on a généralement plus envie d’une salade fraîche que d’un plat fumant sortant du four.

Nous sommes donc pile poil à la bonne période, quand ça se rafraîchit mais que de beaux points rouges sont encore visibles sur les plants de tomates.

Ce soir à la maison, c’était donc soirée tomates farcies, avec un jeu de couleurs tomates rouges/tomates vertes.

J’ai fait une farce de compèt : chair à saucisse, la chair des tomates mise de côté à l’évidage, 2 oignons de l’AMAP, une grosse cuillère à soupe de moutarde parce que Monsieur aime ça, un peu d’herbes de Provence parce que Monsieur adore ça ; je touille, je touille, je reremplis les tomates avec la mixture. Fatalement, il y en a trop puisque je remets ce que j’ai enlevé ET un tas d’autres trucs trop bons. Donc j’en mets un peu entre les tomates.

Au four une vingtaine de minutes, je sers ça avec du riz, et on n’entend plus ni Monsieur, ni les demoiselles, pendant quelques minutes, le temps qu’ils dégustent !

Bon appétit !

Ces légumes aussi bien d’hiver que d’été

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Dans les 2 derniers paniers, nous avons eu les premiers poireaux et les premières carottes de la saison. Des pommes de terre aussi.

Moi, quand je vois côte à côte poireaux, carottes et pommes de terre, je pense soupe. Il y a 10 jours, la température extérieure ressentie avoisinait les 75°C pour certains, et j’ai bien remarqué les airs au mieux pas emballés ou dubitatifs, voire pleins de compassion pour ma santé mentale quand j’ai fait part de ma grande inspiration à la distribution.

À la maison, l’accueil de mon idée par Monsieur a été franchement hostile. J’ai compris qu’il fallait que j’attende encore un peu pour les soupes, j’étais trop avant-gardiste.

J’ai donc fait des salades :

1) poireaux cuits à la vapeur avec une vinaigrette vinaigre de cidre, huile de pépins de raisin, moutarde, échalote, et des petits cubes d’un fromage de chèvre retrouvé au fond du frigo, une bûche type Ste Maure à consommer de préférence avant le 17 mai, donc avant la naissance de Mademoiselle III, ça ne nous rajeunit pas ; c’est toujours très bon, mais on oublie le côté crémeux de la bûche pour avoir un chèvre beaucoup plus sec. En salade c’est mieux, ça ne colle pas aux couverts de service et ça se répartit équitablement dans le saladier. Cette salade s’accompagne volontiers d’œufs mimosa.

À la distribution, Mademoiselle I a prétendu ne pas aimer les poireaux. Comme je connais la bestiole (c’est moi qui l’ai faite quand même), je lui ai dit que je voudrais bien voir ça, qu’elle n’aime pas les poireaux. Ce qui n’est pas vrai, j’en aurais été contrariée. Mais je ne risquais rien. Et de fait, elle s’est resservie 3 fois et a grogné quand le plat a été fini. Mademoiselle II a dit que non non non c’était pas bon, mais une fois le fromage de chèvre trié (on sait qu’elle n’aime pas ça, même si c’est la honte de la famille), elle a trouvé ça très bon.

2) carottes râpées avec une vinaigrette vinaigre de cidre, huile d’olive, ail (beaucoup). Là je ne l’ai pas fait mais souvent j’ajoute une poignée de cacahuètes dans le robot en train de râper les carottes. On peut également mettre des pignons de pin légèrement grillés, des raisins secs, du persil, de la ciboulette, etc. J’ai fait très simple.

Pas de surprise chez les demoiselles, Mademoiselle I était très contente de voir des carottes râpées sur la table, Mademoiselle II a dit ne pas en vouloir, mais, contrainte par un odieux chantage à base de cornet de glace, elle a tout mangé. sans difficulté

3) n’apparaît pas sur la photo, mais les pommes de terre ont été accompagnées de filets de harengs fumés coupés en petits morceaux, avec le même genre de vinaigrette que pour les carottes mais avec des échalotes (beaucoup) et pas d’ail.

C’est un des plats préféré des demoiselles, il n’y en a jamais assez.

Voilà, les salades, ça fait plus estival que la soupe, mais je n’ai pas dit mon dernier mot !

Taboulé, tout simplement

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Regardez dans votre bac à légumes : en ce moment, il y a forcément des tomates et des concombres. Pour peu que vous ayez un pot de menthe sur le bord d’une fenêtre, un oignon nouveau et un citron qui traînent, cette recette est faite pour vous.

En plus de ce que j’ai déjà cité, il faut la semoule et de l’huile d’olive mais ça normalement tout le monde en a dans son fond de roulement.

Au Moyen-Orient, il y a beaucoup de persil dans le taboulé, mais il paraît que ça coupe le lait, et avec l’arrivée de Mademoiselle III, je m’auto-censure à nouveau le persil. En revanche on a eu du basilic, donc j’en ai mis, mais ça ne fait pas partie de la recette de base. On peut mettre des raisins secs aussi si on aime le sucré-salé.

Il n’y a pas beaucoup de recettes plus faciles que celle du taboulé : on met la semoule dans un saladier (jusqu’à mi-hauteur), on mouille avec un grand verre d’eau, on coupe tous les ingrédients en petits cubes et on les ajoute, de façon qu’il y ait à peu près moitié semoule moitié légumes.

On ajoute le jus de citron, le sel, le poivre et 2 cuillères d’huile à la fin, juste avant de touiller et de stocker au frigo.

Idéalement il faut préparer le taboulé la veille et le laisser infuser au frigo. Mais il est mangeable après 2-3h de repos.

C’est bon, c’est frais, c’est léger, qu’est-ce que vous attendez pour en préparer ???